Ma semaine 49/52 en 2021

Noël à Lille

Encore une semaine où on a bien senti la menace du Covid autour de nous… Entre les multiples cas à l’école et les connaissances positives (heureusement vaccinés!!), ça fait bizarre..

  • Lundi 6 décembre : je suis retournée au crossfit après deux semaines off. J’ai bien senti que je n’avais pas fait de cardio pendant ma pause ^^’
  • Mardi 7 décembre : nous sommes allés à la médiathèque après l’école et Raoul a passé un bon moment à lire, bien installé dans un Fatboy ^^
  • Mercredi 8 décembre : l’homme est parti en formation pendant 3 jours et mes parents sont venus pour conduire la Miss à l’équitation et garder Raoul. Je les ai rejoints en ville après le boulot et le soir on a mangé ensemble avant qu’ils ne repartent.
  • Jeudi 9 décembre : j’ai été bloquée une énième fois dans le métro mais cette fois entre deux stations et dans le noir. L’angoisse!
  • Vendredi 10 décembre : après une journée de boulot en solo, je suis allée au crossfit. On sent bien la baisse de motivation des troupes, on était 4!
  • Samedi 11 décembre : nous sommes allés chez Paris Store puis à la friperie du Secours Populaire.
  • Aujourd’hui : journée tranquille avec téléfilms de Noël et chocolat chaud.

Sur le blog

Cette semaine, je vous ai partagé mon carnet de bord selfcare, Dix idées cadeaux pour Noël repérées au salon Made in Hauts de France et mes dernières lectures.

Lu – Vu – Entendu

  • Je suis en train de lire deux livres très différents : une histoire de Noël et un livre qui a pour cadre Auschwitz. C’est assez perturbant!
  • J’ai englouti la fin de la Casa de Papel pendant mes soirées solo et j’ai regardé le dernier Riverdale.
  • Je n’ai regardé qu’un seul film de Noël cette semaine mais c’est vraiment mon préféré pour l’instant. Il s’agit du film de Netflix Un château pour Noël. Je l’ai a-do-ré!

Le film de la semaine

The Power of the dog de Jane Campion

Bande-annonce The Power of the Dog

Synopsis : Originaires du Montana, les frères Phil et George Burbank sont diamétralement opposés. Autant Phil est raffiné, brillant et cruel – autant George est flegmatique, méticuleux et bienveillant. À eux deux, ils sont à la tête du plus gros ranch de la vallée du Montana. Une région, loin de la modernité galopante du XXème siècle, où les hommes assument toujours leur virilité et où l’on vénère la figure de Bronco Henry, le plus grand cow-boy que Phil ait jamais rencontré. Lorsque George épouse en secret Rose, une jeune veuve, Phil, ivre de colère, se met en tête d’anéantir celle-ci. Il cherche alors à atteindre Rose en se servant de son fils Peter, garçon sensible et efféminé, comme d’un pion dans sa stratégie sadique et sans merci…

Mon avis : On a regardé ce film juste car il est de Jane Campion et avec Benedict Cumberbatch, sans trop s’intéresser à l’histoire. Ce que j’en retiens, c’est que Benedict Cumberbatch est absolument formidable, comme toujours. Clairement, c’est lui qui porte le film. Pour ce qui est de l’histoire, j’ai tout vu venir assez en amont et je n’ai pas été transportée. Reste une très belle photographie et quelques beaux moments.

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