Mon expérience du Dry January

Mon expérience du Dry January

Pour la première fois, j’ai fait le Dry January sans aucune exception après deux années de tentatives ratées. Je vous raconte!

Déjà, pour commencer, quelques précisions : je n’ai aucun problème d’alcool, je bois de la bière, du vin et des cocktails lors d’occasions ou avec l’Homme et ce mois sans alcool n’est pas une tentative de mettre fin à une addiction.
Si vous êtes concerné.e directement ou indirectement par une consommation problématique d’alcool, n’hésitez pas à appeler Alcool info services au 0980 980930 ou à aller sur leur site.

Pourquoi ai-je fait le Dry January?

J’avais déjà tenté l’expérience du Dry January en 2021 mais je n’avais pas tenu. L’an dernier, je n’avais même pas essayé. Du coup, cette année, j’étais super motivée et je suis contente d’avoir tenu. J’ai décidé de faire le Dry January pour deux raisons : tout d’abord pour le défi. Et ensuite, et c’est la raison principale, pour questionner mon rapport à l’alcool.

Alors, c’était dur?

Et bien finalement, pas tant que ça! J’ai acheté de la bière et des spritz sans alcool ainsi que du kombucha pour remplacer les bières et le vin que je bois habituellement. En réalité, ça n’est pas tant l’alcool que la boisson qui change qui font l’attrait de l’alcool. Je ne recherche pas d’apaisement en buvant de l’alcool. Là où ça a été compliqué, c’est quand j’ai du m’abstenir de boire des boissons alcoolisées que j’adore : du champagne et du vin du Jura. C’est vraiment les moments où j’aurais pu craquer!

Et avec le recul, je me rends compte que ce qui a été le plus difficile, c’est le regard et les incitations des autres à me faire boire de l’alcool. Je me suis par exemple retrouvée à un dîner avec des gens qui ont passé la soirée à m’inciter à boire, me faisant me sentir comme la bête curieuse qui veut se faire remarquer. J’ai détesté cette sensation alors même que dans l’ensemble, mon entourage a été assez compréhensif. J’ai même une copine qui l’a fait en même temps que moi et avec qui on partageait notre expérience. L’homme, de son côté n’a pas compris pourquoi je faisais ça et m’a incité plus d’une fois à laisser tomber.

Mes astuces pour tenir

Comme je le disais, ma consommation d’alcool est liée à des moments conviviaux : les repas de famille, les apéros entre amis ou avec l’homme ou encore les sorties au resto. Du coup, pour ces moments précis, j’ai acheté des boissons qui changent un peu pour marquer le coup. J’ai acheté du spritz et des bières sans alcool et j’avais aussi reçu des cocktails sans alcool assez bluffants de la marque Ousia.

Et puis clairement, me dire que ça ne dure qu’un mois et être fière de faire un défi comme celui-ci, c’est assez chouette!

ousia

Les bénéfices du Dry January

Comme je le disais plus haut, le Dry January a deux bénéfices : questionner sa relation à l’alcool mais aussi un bénéfice au niveau de la santé et du bien-être. Alors pour être tout à fait honnête, je n’ai pas ressenti de mieux-être particulier en abandonnant l’alcool pendant un mois. Peut-être que je ne bois pas assez pour ça ^^ Je n’ai pas dormi mieux (à vrai dire, j’ai même eu des périodes d’insomnie en janvier, moi qui dors comme une bûche habituellement), je n’ai pas senti que j’avais plus de facilités au sport, je ne me suis pas sentie mieux dans mon corps… Bref, côté santé/bien-être rien n’a changé!

Pour autant, j’ai découvert ou redécouvert des boissons alternatives à l’alcool et je ne me priverai pas d’en racheter de temps en temps !

Si vous aussi vous avez fait le Dry January ou si au contraire, ça ne vous botte pas du tout, n’hésitez pas à venir me raconter en commentaire, votre expérience m’intéresse!

3 Comments on “Mon expérience du Dry January

  1. Je n’aime ni la bière ni vraiment le vin… mon truc c’est les cocktails et le cidre doux si jamais, les occasions sont rares, je ne m’en prépare pas tous les soirs chez moi !
    Les mois Dry arrivent plusieurs fois par an sans que j’y fasse attention…mon dernier cocktail remonte au 31 décembre on peut dire que j’ai fait le dry january sans m’en rendre compte !

  2. j’ai pas bu depuis novembre et mon incident cérébral
    j ai peur de boire et c’est fou comme les autres t’y encouragent ! L’alcool est une plaie en France
    On devrait te laisser tranquille et faire ton choix par toi même comme un(e) grand(e)
    Bon sinon j ai un pote qui l’a tente et il a aimé, il prolonge 🙂

  3. Je suis plus champomy que champagne à Noël.
    Et les grillades ou repas.en famille je les passe à l eau ou au the glacée en général.
    Pour les aperos je pouvais boire un petit verre de pamplemousse rose mais petit.
    Après si nous ouvrons une bouteille de vin à un repas le rouge je n en bois pas du tout le rose je trempe les lèvres pas plus et le blanc s il est moelleux ça peut passer mais en général la bouteille va rester des semaines dans le frigo si mes parents ne l à prennent pas avec eux.

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