Mes dernières séries – Janvier 2024

En janvier, j’ai principalement regardé des mini-séries et l’intégralité d’une série sur Arte. Et aucune nouvelle saison car mes séries préférées sont actuellement en pause.

Je vous en avais parlé ici, l’homme a aménagé les combles pour en faire (entre autres) un espace home cinéma. On a un peu dévié du projet de départ et en lieu et place d’un vidéoprojecteur, on a installé un écran connecté à nos compte Prime, Disney + et Netflix (mais toujours pas la télé ^^). Du coup, c’est là que je viens me poser lors de mes pauses déj en télétravail ou quand je repasse. Et devant une série bien-sûr ^^

Les mini-séries

The Patient sur Disney +

Psychothérapeute, le Dr Alan Strauss est retenu en otage par un patient, Sam Fortner, qui se révèle être un tueur en série. Ce dernier a une demande thérapeutique inhabituelle : freiner ses pulsions meurtrières. Pour sauver sa peau, Alan doit gérer l’esprit perturbé de Sam et l’empêcher de tuer à nouveau… mais celui-ci refuse d’aborder les sujets sensibles. Seul et captif, Alan trouve l’inspiration à travers sa propre expérience avec son ancien thérapeute, tout en faisant face à ses propres troubles, dont la mort récente de sa femme, Beth…

Voilà un an que j’ai envie de regarder cette mini-série car j’aime beaucoup Steve Carell et que le pitch me bottait bien. On s’est finalement lancés en décembre avec l’homme qui a fini par lâcher. Du coup, je l’ai terminé en janvier en solo mais il y a à nouveau jeté un coup d’oeil sur les derniers épisodes. Personnellement, j’ai beaucoup aimé à la fois l’histoire, le jeu des acteurs mais aussi les différents questionnements induits par la relation entre les personnages. Entre le patient et le psy évidemment mais aussi toute la réflexion autour de la parentalité.

Polar Park sur Arte

Après avoir reçu un mystérieux message, David Rousseau, auteur de polars en panne d’inspiration, se rend à Mouthe, le village le plus froid de France. Le même jour, un meurtre survient, mis en scène de manière aussi artistique que déroutante. Y voyant le point de départ inespéré d’un roman, Rousseau entame une enquête qui empiète sur celle de l’Adjudant Louvetot. Le trouble s’installe définitivement lorsque les meurtres s’additionnent. Il y aurait un serial killer… à Mouthe !

Encore une nouvelle série française, wow j’ai changé moi!! On m’en avait dit du bien alors je me suis lancée dans cette mini-série sans trop savoir ce que ça allait donner. Et bien contre toute attente, j’ai beaucoup aimé! Pastichant les séries américaines (et quand on en regarde beaucoup, on se surprend à sourire plus d’une fois!), c’est une série drôle et plutôt esthétique. Tous les acteurs sont bons (et dans une série française, c’est assez rare pour le souligner) avec une mention spéciale pour le duo formé par Jean-Paul Rouve et Guillaume Gouix.

Double piège sur Netflix

Quand Maya, une ancienne soldate, aperçoit soudain sur une caméra espion son mari qu’elle pensait assassiné, elle découvre une conspiration meurtrière ancrée au plus profond du passé.

D’après le roman éponyme de Harlan Coben.

Après une bonne série française, voilà une série anglaise assez nulle. Je n’ai pas lu le roman dont elle est tirée donc je ne peux pas comparer mais ce que je sais c’est que sur les huit épisodes, au moins deux sont de trop. Les personnages sont caricaturaux (l’héroïne principale est particulièrement antipathique), tout est très lourd (la tension, les gros plans larmoyants, la musique qui te dit que là il va se passer un truc..) J’ai eu l’impression que les spectateurs étaient pris pour des bétas à qui il faut expliquer les choses dix fois pour qu’ils comprennent. Bref, à oublier… Seul plaisir : voir Joanna Lumley.

Le garçon et l’univers sur Netflix

À Brisbane dans les années 80, au sous-sol de sa maison, Eli Bell répond à un téléphone rouge et commence un voyage qui va lui briser le cœur, avant de le reconstruire.

J’ai beaucoup aimé la photographie de cette série adaptée d’un roman que je ne connaissais pas. Eli est un préado qui commence sa vie avec de grosses difficultés : une famille dysfonctionnelle avec un père alcoolique (joué par Simon Baker, très loin du Mentalist), un beau-père dealer, une mère toxico et un grand frère mutique. Il y a parfois un peu de surnaturel dans leur histoire, notamment dans les dessins du frère qui s’avèrent prémonitoires. Et même si c’est souvent très dur, on se surprend à sourire de temps en temps.

Dopesick sur Disney +

Au coeur d’une petite ville de l’état de la Virginie, le portait de familles touchées par la crise des opiacés aux Etats-Unis. Les proches des toxicomanes se lancent dans une guerre auprès des lobbies pharmaceutiques. Les policiers et médecins luttent également au quotidien contre le fléau…

Voilà très longtemps que cette série était dans la liste de celles que je voulais regarder. Quand on a eu terminé Le garçon et l’univers, j’ai proposé à l’homme de la regarder. Je connaissais le scandale de la crise des opiacés aux Etats-Unis mais sans en connaitre les détails. Ici, on suit le cheminement qui a conduit à cette catastrophe sanitaire avec des allers/retours entre passé et présent (enfin, un présent en 2003) qui montre comment la famille Sackler a créé une dépendance à son médicament en enchainant les mensonges et les manipulations. Mais l’on voit aussi ce que ça a donné du côté des patients et des médecins (formidable Mickaël Keaton). A noter qu’une série sur le même sujet est sortie sur Netflix. Si vous avez vu les deux, est-ce que vous me conseillez de la regarder aussi?

Les nouvelles séries

Les Durrells, une famille à Corfou saisons 1 à 4 sur Arte

En 1935, après la mort de son mari et des problèmes financiers, Louisa Durrell décide de déménager de Bournemouth jusqu’à l’île grecque de Corfou avec ses quatre enfants. Des changements vont alors devoir s’opérer au sein de cette famille qui va voir sa vie bouleversée du jour au lendemain.

J’ai commencé cette série un peu par hasard et surtout parce que j’adore les séries anglaises proposées sur Arte. Elle date de 2016-2019 et comporte quatre saisons de 6 à 8 épisodes d’une heure environ chacun. On y suit une famille assez loufoque composée de Louisa et de ses quatre enfants. Il s’agit en fait de l’adaptation des mémoires romancées de Lawrence Durrell, un des quatre enfants et qui fut romancier. J’avoue ne pas le connaitre du tout.

Les personnages sont hauts en couleur et c’est souvent très drôle. Je l’ai commencée seule mais Raoul est souvent venu me rejoindre car il a pas mal accroché lui aussi! Du coup, j’ai du l’attendre pour regarder les saisons 3 et 4. En VOST évidemment!

Plan de carrière sur Netflix

Ingrid Yun, une jeune avocate idéaliste, remet en question ses valeurs quand elle choisit d’intégrer un cabinet d’avocats d’élite de New York.

J’ai commencé à regarder cette série en scrollant dans les propositions de Netflix et parce que j’avais envie de quelque chose de léger. Malheureusement, je ne peux pas dire que j’ai été subjuguée et pour être honnête, je me suis franchement ennuyée plus d’une fois. Du coup, je l’ai regardée à la pause déj, souvent d’un œil tout en crochetant. D’ailleurs, je ne suis visiblement pas la seule à m’être ennuyée puisque la série n’a pas été renouvelée.

En février, je vais continuer Love is blind Suède que j’ai commencé il y a quelques jours (avant la Saison 6 de la version US), Le renard : prince des voleurs, que j’ai commencé avec l’homme mais aussi commencer Mr & Mrs Smith ou encore Queer Eye Saison 8. Et vous?